L’IA fait bouger les lignes chez les poids lourds du web

👋 Chers Dancing Queens et Super Troupers,

Vous sentez ce petit frisson ? Celui qui parcourt votre dos quand Netflix propose pile la série que vous rêviez secrètement de regarder, même si vous ne l’aviez encore jamais avoué à personne ? 

Cette semaine, la tech nous régale : Netflix dévoile un moteur de recherche prédictif boosté par ChatGPT. 

Déjà testé en Australie, il promet de rendre vos soirées plus smooth : vous tapez « je veux flipper mais pas trop » et hop, l'IA vous sert ses suggestions… À vous de valider (ou pas).

De son côté, Apple réfléchit à muscler Safari avec des moteurs IA façon ChatGPT ou Perplexity, histoire de casser un peu le monopole de Google (qui lui verse quand même 20 milliards par an pour rester moteur par défaut…). 

À ce rythme, Siri et Google Assistant pourraient bientôt régler ça à coups de battle de rap virtuel ! 

L’IA semble prête à révolutionner internet, mais va-t-elle épargner nos emplois ? Amazon tente de rassurer : même avec son nouveau robot Vulcan qui sent les colis et soulage les dos fatigués, il restera encore des places pour les humains. À condition d’aimer gérer des robots… qui eux, ne prennent jamais de RTT.

En attendant, FutureHouse lance 5 agents IA pour accélérer la science. De quoi nous éviter une nouvelle pandémie, et nous permettre à tous de décoller en jet-pack ? 

Mais voilà que surgit un joueur inattendu sur le ring : le Vatican. Oui, vous avez bien lu. Le nouveau pape Léon XIV déclare que l’IA est désormais le défi spirituel numéro 1 ! 

Et si l’éternel combat entre science et religion reprenait, en version 2025, avec l’IA comme arbitre imprévisible ?

Allez, round 1, que le spectacle commence ! Au programme cette semaine :

👉️  Apple veut prendre la place de Google ! 🔄​

👉️ Netflix sort sa boule de cristal : plus besoin de choisir ​​🔮​

👉️ Amazon rassure : il restera des jobs humains… promis 🙂​

👉️ Science sous stéroïdes IA : FutureHouse appuie sur start ▶️

👉️ Léon XIV tape du poing : l’IA, nouveau péché capital ? 😱

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1️⃣ Apple veut devenir le nouveau Google !

Le résumé : Apple entre dans la course à l’IA et veut tout changer. Selon Bloomberg, la firme de Cupertino envisage d’intégrer des moteurs de recherche par IA dans Safari. C’est une décision qui remettrait en cause l’accord à 20 milliards de dollars passé avec Google.

Les détails :

• Un partenariat historique menacé : Google verse chaque année 20 milliards de dollars à Apple pour rester le moteur de recherche par défaut sur Safari.

• Un recul significatif observé : Pour la première fois, les recherches effectuées via Safari ont baissé, selon Eddy Cue, cadre chez Apple.

• Une nouvelle habitude des internautes : Cette baisse serait liée à l'essor de l’IA, désormais utilisée comme principal outil de recherche.

• Une stratégie en préparation : Apple envisage d’intégrer des moteurs IA comme Perplexity et OpenAI dans Safari, sans en faire la valeur par défaut pour l’instant.

• Siri boosté à l’IA : ChatGPT pourrait bientôt être intégré à l’assistant vocal d’Apple grâce à un accord avec OpenAI.

• Un double jeu assumé : En parallèle, Apple discute avec Google pour intégrer son IA Gemini dans les futurs iPhone, dès la WWDC 2025.

• Un équilibre publicitaire fragile : 36 % des revenus publicitaires de Google liés à la recherche proviennent du trafic généré par Safari.

• Un danger réel pour Google : Selon l’analyste Gil Luria, si des alternatives solides émergent, les annonceurs fuiront le quasi-monopole actuel de Google.

Pourquoi c’est important : Ce n’est pas juste une mise à jour de Safari. C’est une attaque en règle contre le modèle Google. Apple avance doucement, mais sûrement. Derrière cette stratégie, se joue peut-être l’avenir même de la recherche sur internet.

2️⃣ Netflix sort sa boule de cristal : plus besoin de choisir

Le résumé : Netflix passe à l’action avec l’IA générative. La plateforme lance une nouvelle expérience de recherche interactive, alimentée par ChatGPT. Objectif est d’aider les utilisateurs à trouver le bon programme, simplement en décrivant ce qu’ils ressentent ou veulent vivre. C’est plus intuitif et aussi plus humain. Reste à savoir si cette approche saura séduire durablement les abonnés.

Les détails :

• Une recherche plus naturelle : L’utilisateur formule ses envies avec des phrases simples, comme « drôle mais pas trop absurde ».

• C’est un moteur intelligent : L’outil repose sur ChatGPT d’OpenAI, connu pour ses réponses fluides et son adaptabilité.

• Un déploiement progressif : D’abord lancé en bêta sur iOS, il est testé en Australie et Nouvelle-Zélande cette semaine.

• Un concurrent ambitieux : Tubi avait tenté une IA similaire avant de la retirer faute de succès.

• Une tendance partagée : Amazon propose également une recherche vocale IA sur Fire TV, capable de répondre à des questions ouvertes.

• Interface revisitée : Netflix a aussi dévoilé une nouvelle page d’accueil pour TV et un flux vidéo court pour mobile.

• Un plus pour l’international : L’IA générative sera utilisée pour personnaliser les fiches de titres dans la langue préférée des abonnés.

• Défi à relever : L’outil devra prouver qu’il améliore vraiment l’expérience. Sinon, il sera vite oublié.

Pourquoi c’est important : Et si choisir quoi regarder devenait enfin simple et agréable ? C’est ce que Netflix espère. Grâce à cette IA, on ne cherche plus un titre. On décrit juste une envie. Bien sûr, la plateforme cherche à créer un lien plus personnel avec ses abonnés. Mais la magie opérera-t-elle ? Car si l’outil déçoit, l’effet peut être inversé.

3️⃣ Amazon rassure : il restera des jobs humains… promis

Le résumé : Amazon dévoile Vulcan, un robot d’entrepôt capable de ressentir et conçu pour travailler aux côtés des humains. En réduisant les tâches pénibles et en créant de nouveaux postes liés à la robotique, l’entreprise donne un aperçu du futur du travail. Mais derrière cette vision optimiste, des doutes persistent : tous les employés auront-ils vraiment une place dans ce monde automatisé ?

Les détails :

• Robot sensible en action : Vulcan peut attraper des objets aux étagères hautes ou basses. Ainsi, il réduit les efforts physiques des humains.

• Une promesse de sécurité : Selon Amazon, ce robot rend les entrepôts plus sûrs et limite les tâches ergonomiquement risquées.

• Evolution des rôles humains : Les salariés ne ramassent plus tout, mais interviennent là où Vulcan ne peut pas opérer.

• Un changement de trajectoire : Certains employés sont désormais formés pour devenir techniciens en maintenance robotique.

• C’est un nouveau paysage de l’emploi : Amazon affirme aussi que ces robots participent à 75 % des commandes et ont créé des centaines de nouveaux métiers.

• Une reconversion loin d’être généralisée : Tout le monde ne pourra pas ou ne voudra pas devenir mécanicien de robot. Toutefois, Amazon ne le promet pas non plus.

• Un avenir incertain : L'après-robotique pour les emplois peu qualifiés reste flou, malgré les efforts de communication.

• Risque de fracture sociale : Si seuls les plus gros groupes accèdent à cette robotisation, des millions pourraient rester à l’écart.

Pourquoi c’est important : Amazon propose une vision séduisante du futur du travail : les robots aident, les humains montent en compétences. Mais en réalité, ce modèle pourrait surtout profiter aux entreprises riches, capables d’investir massivement. Et pendant que certains se reconvertissent, d’autres risquent l’exclusion.

4️⃣ Science sous stéroïdes IA : FutureHouse appuie sur start

Le résumé : FutureHouse, soutenue par Eric Schmidt, veut accélérer les découvertes scientifiques grâce à l’IA. Elle lance une API et quatre outils conçus pour aider les chercheurs à explorer, organiser et planifier leurs travaux. Bien que prometteurs, ces assistants intelligents sont encore loin d’égaler les véritables percées humaines. Et pour cause : la science demande plus que de la logique. Elle exige fiabilité, précision, et parfois même intuition.

Les détails :

• Objectif révolutionnaire : FutureHouse veut créer un « scientifique IA » capable d’accélérer la recherche d’ici dix ans.

• Equipe de quatre IA : Crow, Falcon, Owl et Phoenix ont chacune une spécialité, de la lecture à l’expérimentation.

• Un accès privilégié : Ces IA peuvent lire des articles scientifiques en libre accès et utiliser des outils spécialisés.

• Un fonctionnement plus rigoureux : Elles utilisent un raisonnement en plusieurs étapes pour examiner les sources plus sérieusement.

• Un outil pour chaque tâche : Crow répond aux questions, Phoenix aide à concevoir des expériences, Owl et Falcon cherchent dans les bases de données.

• Efficacité encore floue : Aucune découverte majeure n’a encore été obtenue grâce à ces outils.

• Crédibilité fragile : De nombreux chercheurs doutent, car l’IA peut halluciner ou se tromper dans des tâches critiques.

• Une transparence assumée : FutureHouse reconnaît que Phoenix peut faire des erreurs, surtout dans les expériences complexes.

• Une approche itérative : L’organisation publie ses outils tôt, dans l’espoir d’évoluer grâce aux retours utilisateurs.

Pourquoi c’est important : L’IA entre peu à peu dans les laboratoires. Elle ne remplace pas les scientifiques, mais elle pourrait les épauler. Pourtant, une erreur d’interprétation, un faux résultat et c’est toute une recherche qui déraille. C’est pourquoi, malgré l’enthousiasme, la prudence reste essentielle.

5️⃣ Léon XIV tape du poing : l’IA, nouveau péché capital ?

Le résumé : Le pape Léon XIV, premier pontife américain, place l’intelligence artificielle au cœur des préoccupations mondiales. Dans son tout premier discours, il alerte sur les dangers de cette technologie, qu’il qualifie de principal défi pour l’humanité. En parallèle, il promet de poursuivre les réformes inclusives engagées par son prédécesseur, le pape François, et d’offrir à l’Église un nouveau rôle face aux bouleversements éthiques, sociaux et spirituels.

Les détails :

• Un avertissement clair et direct : Léon XIV déclare que l’intelligence artificielle est le plus grand défi de notre époque.

• Engagement humaniste affirmé : Il insiste sur la nécessité de défendre la justice, la dignité humaine et le travail dans un monde automatisé.

• Continuité assumée : Le nouveau pape s’inscrit dans l’héritage du pape François, notamment sur l’ouverture de l’Église aux plus fragiles.

• Appel à l’action internationale : Il soutient la création d’un traité mondial pour encadrer l’usage éthique de l’intelligence artificielle.

• Une foi menacée par la technologie : Dans sa première messe, il associe la perte de foi à la perte de sens et de repères dans la société.

• Un moment de recueillement symbolique : Léon XIV s’agenouille sur la tombe de François à Rome, dans un geste fort de respect.

• Une campagne d’intoxication numérique : Des images truquées de Trump en pape et de conclaves détournés circulent en ligne, alimentant la confusion.

• La volonté de guider autrement : Le nouveau pontife veut faire de l’Église un phare éthique dans ce monde technologique en perte d’âme.

Pourquoi c’est important : À l’heure où l’IA s’immisce partout, même dans nos croyances, Léon XIV offre une réponse forte, lucide et profondément humaine. Ce discours n’est pas seulement religieux : il engage un débat mondial sur les limites du progrès. Car, selon lui, sans conscience, la technologie pourrait détruire ce qu’elle prétend améliorer.

❤️ L’outil de la semaine : Emergent AI, l’IA qui transforme vos idées en applis !

Vous rêvez de développer une appli, mais vous ne savez pas coder ? Découvrez Emergent AI ! Ce nouvel outil d’intelligence artificielle peut vous créer une application sur mesure à partir d’un simple prompt.

À quoi ça sert ?

• Alors que la plupart des développeurs ont besoin de 5 outils pour créer une application, Emergent se suffit à lui-même et il n’est même pas nécessaire de coder. 

• C’est la première plateforme de « vibe coding » agentique, capable de transformer une simple idée en application pleinement fonctionnelle. 

• Il suffit de décrire votre concept d’application par écrit, par exemple « un réseau social avec système d’authentification et fil d’actualité ». 

• Aussitôt, l’IA génère le frontend, le backend, et le code de base de données à partir de votre description. 

• Vous pouvez ajouter des fonctionnalités, modifier l’interface utilisateur, ou même intégrer des APIs à l’aide d’outils intuitifs. 

• En un seul clic, l’application est prête pour les utilisateurs ! 

• Pour essayer cet outil, rendez-vous dès maintenant sur le site officiel en suivant ce lien. 

• Dans l’exemple ci-dessous partagé sur X, Emergent AI crée un véritable clone de Netflix…