L’intelligence artificielle est bluffante... mais pas encore humaine

👋 Chers Dancing Queens et Super Troupers,

Il ne manquerait que 3 à 5 miracles pour qu’une IA atteigne le niveau cognitif humain. Oui, vous avez bien lu. Pas « dans un siècle ». Pas « peut-être un jour ». 

Non : selon Nathan Myhrvold, ex-gourou technologique de Microsoft, l’intelligence artificielle est à quelques coups de génie (et de GPU) d’un cerveau capable de comprendre, raisonner, imaginer… et peut-être douter. 

Pendant ce temps, OpenAI affûte GPT-5, qui pourrait débarquer dès ce mois-ci avec un meilleur raisonnement, une mémoire rallongée et un sacré sens de la répartie. Moins de bugs, plus d’émotions, plus de personnalité. Une IA plus humaine, encore.

Et si ce qui nous rend humains, c’était la conscience, cette petite voix dans notre tête qui nous parle en permanence ? C’est le pari de Google, qui veut donner une voix intérieure à ses robots…

L’IA Centaur, quant à elle, est même capable de lire dans vos propres pensées. Tout du moins, elle peut prédire vos décisions avec une précision glaçante. 

Est-ce qu’elle comprend ce que c’est qu’aimer, hésiter ou mentir ? Pas encore. Mais elle sait à quel moment vous allez le faire.

Et si vous pensiez que l’art, au moins, resterait propre à l’humanité, c’est raté : le groupe rétro-rock The Velvet Sundown, qui cartonne sur Spotify, est en fait une pure création IA ! 

Faux visages, fausses biographies, musique entièrement générée… mais des centaines de milliers d’écoutes. Le tout, présenté comme une « provocation artistique ».

Alors, prêts pour le show ?

👉 L’IA a rattrapé l’humain beaucoup plus vite que prévu 😱​

👉  GPT‑5 est presque prêt… mais vous n’êtes pas prêt pour GPT-5🥴​​

👉  Gemini Cricket : Google donne une conscience à ses robots 🤖​

👉 Centaur devine ce que vous allez faire… avant vous 👀

👉 Ce groupe de rock n’existe pas, mais il a un million de fans 🤦‍♀️​​

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🔥 Si tu as quinze minutes ?

1️⃣ L’IA a rattrapé l’humain beaucoup plus vite que prévu

Le résumé : Nathan Myhrvold, ancien de Microsoft, affirme que l’intelligence artificielle frôle déjà le niveau humain. 

Pour franchir ce cap, il ne manquerait que quelques avancées technologiques majeures qu’il qualifie de « miracles ». Mais ce bond prometteur implique aussi de gros défis éthiques, énergétiques et existentiels.

Les détails :

• Encore deux-trois bidouilles avant le génie : Selon Myhrvold, l’IA est proche du but. Il reste juste à lui apprendre à raisonner avec nuance et concepts abstraits, en gros, lui greffer un cerveau capable d’intuition.

• Un pari fou… qui paye pour l’instant : Microsoft et OpenAI ont misé des milliards sur la puissance de calcul. Depuis, l’IA a fait bien plus que tenir ses promesses de 2019. Et ce n’est qu’un échauffement.

• L’abstraction : le cœur de l’intelligence : Le chercheur souligne qu’aujourd’hui, les IA excellent en génération de textes ou tâches codées, mais leur compréhension des concepts abstraits reste limitée. Pour combler cet écart, une nouvelle vague d’innovations est nécessaire. 

• L’IA a faim, très faim d’énergie : L’explosion de l’IA rime avec explosion énergétique. Myhrvold voit dans les réacteurs nouvelle génération, comme ceux de TerraPower, une réponse crédible à ce casse-tête électrique. Il faut donc des sources d’énergie propres, stables et capables de suivre la cadence.

• Poésie oui, mais utilité surtout : Pas suffisant de générer des haïkus. Ce qu’il faut désormais c’est des applis IA qui résolvent de vrais problèmes et transforment des secteurs entiers.

• On est loin du Terminator, mais ça commence à faire flipper : Myhrvold se moque gentiment des scénarios façon fin du monde, mais glisse un avertissement sérieux : une IA surpuissante mal encadrée pourrait faire bien pire que buguer. Elle pourrait littéralement péter un câble… à l’échelle mondiale.

Pourquoi c’est important : L’IA n’est plus un gadget de labo. Elle s’apprête à repenser nos métiers, notre énergie… et notre place. Quelques percées de plus, et le futur, c’est maintenant, sans bouton pause, sans mode d’emploi, et avec nous qui courons derrière en essayant de suivre.

2️⃣ GPT‑5 est presque prêt… mais vous n’êtes pas prêt pour GPT-5

Le résumé :  OpenAI tease sa future version GPT‑5, attendue en juillet selon les rumeurs. Toutefois, Sam Altman reste vague en annonçant simplement « cet été ». 

Parmi les fonctionnalités espérées : raisonnement amélioré, personnalisation accrue, compréhension de longs contextes, génération d’images et vidéos, et intégration plus fine d’outils tiers. De quoi nous transformer en copilotes technologiques avant la fin de l’été.

Pourquoi c’est important : Si GPT‑5 arrive cet été, ce ne sera pas qu’un simple rafraîchissement. On basculerait vers un assistant multimodal, intelligent au long terme et vraiment utile. Une mini révolution dans notre quotidien et un sérieux challenge pour la concurrence.

3️⃣ Gemini Cricket : Google donne une conscience à ses robots

Le résumé : Google DeepMind franchit une étape inédite en dotant ses robots d’une « voix intérieure » qui leur permet de se décrire ce qu’ils voient et font, comme un petit GPS mental en mode bavard. 

Cette innovation les aide à mieux apprendre de nouvelles tâches sans formation préalable, en reliant observations et actions avec plus de finesse. Bref, fini les robots qui tournent en rond : place aux machines qui se parlent à elles-mêmes pour mieux comprendre le monde.

Les détails :

• Une narration interne pour mieux apprendre : Les robots ne se contentent plus de recevoir des ordres : ils décrivent en temps réel ce qu’ils observent et font, comme s’ils tenaient un journal intime en mode robotique. Ce discours interne leur permet d’apprendre de nouvelles tâches sans avoir besoin d’une tonne d’exemples, comme un élève qui comprendrait une leçon du premier coup.

• Un apprentissage « zéro-shot » qui épate : Grâce à cette voix intérieure, les robots peuvent réaliser des tâches jamais vues auparavant sans formation spécifique. Imagine un cuisinier qui réussirait une recette sans jamais l’avoir testée, juste en se parlant à lui-même. Ça change la donne côté efficacité !

• Moins de mémoire, plus d’intelligence : Le dialogue interne permet aux robots de réduire leur besoin en mémoire pour comprendre et exécuter des tâches complexes. En gros, ils deviennent moins « boulimiques » d’informations et plus malins pour faire le lien entre ce qu’ils voient et ce qu’ils doivent faire.

• Vers des machines plus autonomes et flexibles : Cette innovation ouvre la porte à des robots plus indépendants, capables de s’adapter à des situations variées sans supervision constante. On est loin des robots qui plantent devant le moindre imprévu : ceux-là, ils papotent dans leur coin et ajustent le tir.

• Une éthique à ne pas oublier : Avec cette capacité d’autoréflexion, la question se pose : comment garder ces voix intérieures bien alignées avec nos valeurs humaines ? Parce qu’on veut éviter qu’ils ne se transforment en petites divas qui font leur loi.

Pourquoi c’est important : Cette avancée marque un tournant vers des robots vraiment autonomes, capables non seulement d’exécuter des tâches, mais aussi de comprendre leurs choix.

En affinant leur voix intérieure, ils limitent les bévues et deviennent des alliés plus fiables. De quoi booster la collaboration humain-robot sans craindre qu’ils ne nous mènent en bateau ou en rond.

4️⃣ Centaur devine ce que vous allez faire… avant vous

Le résumé : Une nouvelle IA nommée Centaur impressionne par sa capacité à prédire les comportements humains avec une précision inédite.

En étudiant finement les réponses à des tests psychologiques, elle anticipe nos décisions futures mieux que les modèles classiques. Un peu comme un détective privé des comportements, mais sans GPS, juste des données et des calculs bien ficelés.

Les détails :

• Des prédictions au-delà des attentes : L’originalité de Centaur tient à sa faculté d’identifier les processus mentaux derrière nos décisions, pas seulement les résultats. C’est comme si elle lisait dans nos carnets de notes intérieurs pour mieux anticiper nos comportements futurs.

• Applications à gogo & outil de pointe pour les entreprises : Cette prouesse ouvre la voie à des usages concrets dans des secteurs variés : marketing ultraciblé, amélioration de l’expérience utilisateur, cybersécurité renforcée, voire détection précoce de comportements à risque. L’IA devient un peu le coach personnel que personne n’a demandé, mais qui pourrait bien s’imposer.

• Le revers de la médaille : Prédire l’humain, c’est aussi flirter avec la vie privée et les manipulations possibles. L’éthique s’impose donc comme un garde-fou indispensable pour que cette technologie ne vire pas au Big Brother version 2.0.

• Un pas vers la symbiose homme-machine : Avec Centaur, on franchit une nouvelle étape vers une intelligence artificielle qui comprend mieux l’humain, pour mieux collaborer avec lui, sans forcément lui marcher sur les pieds.

Pourquoi c’est important : Cette avancée démontre que l’IA peut devenir un véritable partenaire dans la prise de décision, en offrant des insights plus profonds sur le comportement humain. Elle promet des interactions plus personnalisées et efficaces, mais demande aussi une réflexion sérieuse sur la protection des données et le respect des individus.

5️⃣ Ce groupe de rock n’existe pas, mais il a un million de fans

Le résumé : Un groupe fictif, The Velvet Sundown, fait un carton sur Spotify avec un son folk-rock années 60. 

Mais surprise : leur musique est entièrement créée par intelligence artificielle, une expérience artistique qui secoue l’industrie musicale, et qui pourrait bien faire froncer quelques sourcils chez les puristes du « vrai son ».

Les détails :

• Un succès fulgurant sans visage humain : The Velvet Sundown a rapidement séduit le public sur Spotify avec la sortie de son premier album Floating on Echoes le 5 juin 2025. Leur single Dust on the Wind a atteint le sommet du classement Viral 50 dans plusieurs pays, totalisant plus d’un million d’écoutes mensuelles, et sans jamais avoir fait de tournée.

• Suspicion autour de l’authenticité du groupe : Malgré cet engouement, des doutes ont commencé à germer. Pas un seul membre en vue, des visuels et un son trop parfait… Certains se sont demandé si ce n’était pas une bande de robots qui jouaient en douce. Et bingo ! Ils n’étaient pas loin.

• Mystère et révélation : la musique sans musiciens : Le groupe a finalement confirmé, le 5 juillet, que toute leur musique était générée par intelligence artificielle, via des outils spécialisés comme Suno, combinant mélodies folk et voix synthétiques, sous la supervision d’une équipe créative humaine.

• Réactions mitigées chez les auditeurs : Si certains apprécient la qualité émotionnelle de la musique, d’autres s’inquiètent d’un futur où les créations artificielles pourraient remplacer les artistes humains, déclenchant un débat passionné dans la communauté.

• Enjeux éthiques et commerciaux : Le phénomène relance le sujet des droits d’auteur et de la régulation. Des figures majeures de l’industrie et des organisations demandent des règles claires pour encadrer l’usage de l’IA dans la musique, afin de protéger les créateurs originaux.

Pourquoi c’est important : Cette histoire montre bien que l’IA fait désormais son entrée fracassante dans la musique, mixant prouesses techniques et bonnes vieilles questions : qui compose vraiment ? Qui crée ? Et surtout, est-ce qu’on aura encore besoin de musiciens ou juste d’une bonne prise électrique ?

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Avec HeyGen Video Agent, tu n’as plus besoin d’être monteur, scénariste ou voix off : tu tapes une idée, et il te sort une vidéo prête à publier. Script, images, voix, transitions… tout est généré automatiquement. C’est un peu comme si ChatGPT, Adobe Première et un influenceur TikTok fusionnaient dans ton navigateur.

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