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Quand ChatGPT vous aide... à ne plus vraiment réfléchir
Du MIT à OpenAI, les alertes s’accumulent : l’IA pourrait vous rendre idiot, vous ruiner... ou vous tuer. Mais rassurez-vous, elle est aussi là pour vous susurrer des mots doux avec la voix de votre star préférée.

👋 Chers Dancing Queens et Super Troupers,
Cette semaine, mauvaise nouvelle : votre cerveau est peut-être en train de fondre… sans même que vous vous en rendiez compte.
Selon une étude du MIT, utiliser ChatGPT réduirait l’activité des zones liées à la mémoire, la pensée critique et la créativité.
En gros, pendant que vous déléguez l’écriture d’un mail ou d’un devoir, votre cortex prend une petite sieste. Merci qui ? Merci GPT.
Mais pendant que notre esprit roupille, l’IA, elle, s’échauffe sévère. OpenAI tire la sonnette d’alarme : ses prochains modèles pourraient aider n’importe quel apprenti savant fou à créer des armes biologiques.
Oui oui, des virus mortels servis sur un plateau d’API. Pendant ce temps, Zuckerberg balance des chèques à 9 chiffres pour construire son « labo de superintelligence » avec pour objectif de battre l’intelligence humaine.
Et si vous comptiez vous reconvertir dans un job pépère chez Amazon, mauvaise pioche : Andy Jassy annonce tranquillement que l’IA va remplacer une bonne partie des postes.
Pas grave, vous pourrez toujours discuter avec Jordan, l’ancienne star de tabloïds devenue égérie IA sur OhChat, le OnlyFans du futur. Elle ne dort jamais, se souvient de vous, et vous susurre des choses que même Siri n’oserait pas…
Pensée critique en baisse, emploi en chute, désir en série… L’IA continue son grand remix de l’humanité.
À nous de choisir : copilote inspirant ou auto-pilote somnifère ? Let’s not lose our minds (entièrement) !
👉 L’effet pervers de ChatGPT sur votre cerveau 🤯
👉 Créer un virus mortel avec l’IA ? Ce cauchemar devient plausible 💥
👉 Meta veut créer l’IA ultime (et aligne les millions) 🤔
👉 Moins d’humains, plus d’algos : le nouveau plan d’Amazon 🤐
👉 L’IA entre dans votre lit (et votre portefeuille) 💲

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⚡Si tu as une minute :
Une étude du MIT montre que l’usage intensif de ChatGPT réduit l’activité liée à la mémoire, la pensée critique et la créativité. Les textes lisses, les cerveaux passifs, et une « dette cognitive » s’accumulent en silence.
Les prochains modèles d’OpenAI pourraient aider même des amateurs à concevoir des armes biologiques. L'entreprise appelle à un encadrement strict, mais admet qu’un blocage à 99,999 % ne suffira peut-être pas…
Mark Zuckerberg a ouvert un « Superintelligence Lab » ultra-select, recrute à coups de millions, et injecte 14 milliards dans Scale AI. Objectif affiché : dépasser l’humain, façon AGI.
Andy Jassy, CEO d’Amazon, annonce que l’IA remplacera de nombreux postes administratifs. Moins d’humains, plus d’agilité, plus de profits ? Les salariés, eux, digèrent mal la pilule…
Katie Price alias Jordan devient une star IA sur OhChat, le « OnlyFans 2.0 ». Des clones vocaux et visuels vendent de l’intimité artificielle par abonnement, et continuent à nous isoler dans le numérique.
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🔥 Si tu as quinze minutes ?
1️⃣ L’effet pervers de ChatGPT sur votre cerveau
Le résumé : Une étude du MIT Media Lab révèle un effet secondaire inquiétant de l’IA : utiliser ChatGPT pour écrire affaiblirait la mémoire, la créativité et la pensée critique.
Les cerveaux des utilisateurs se mettent littéralement en mode « veille cognitive » face à l’outil. Les textes deviennent plus fades, l’activité neuronale est en berne, et un risque de dépendance intellectuelle apparaît. L’IA, plus qu’un assistant ? Un anesthésiant mental.

Les détails :
Étude expérimentale du MIT : 54 participants répartis en trois groupes (ChatGPT, Google, aucun outil) ont rédigé plusieurs essais argumentatifs pendant des sessions IRM cérébrales.
Effondrement de l’activité cognitive : le groupe ChatGPT montre la plus faible activation dans les régions du cerveau associées à la planification, à la mémoire de travail et à la créativité.
Des textes lisses et dépersonnalisés : les essais produits avec ChatGPT étaient jugés « banals », souvent semblables les uns aux autres, et pauvres en nuances personnelles.
Dépendance croissante à l’IA : au fil des sessions, les utilisateurs de ChatGPT copiaient de plus en plus sans réécriture, perdant l’envie de réfléchir ou reformuler.
Google plus stimulant : ceux qui utilisaient Google restaient engagés cognitivement : ils faisaient plus de recherches, réfléchissaient aux sources et se déclaraient plus satisfaits de leur production.
Un usage équilibré reste possible : un groupe test hybride, contraint de réfléchir d’abord sans IA avant d’y avoir accès, montrait de meilleurs résultats cérébraux. Preuve qu’un usage guidé et réfléchi de l’IA pourrait être bénéfique.
Une « dette cognitive » : les chercheurs décrivent un effet à long terme potentiel, où la paresse mentale induite par l’IA appauvrit peu à peu les capacités intellectuelles, notamment chez les plus jeunes.
Pourquoi c’est important : À l’heure où l’IA s’infiltre dans les écoles, les devoirs, les mails pro et même nos journaux intimes, cette étude met en garde : penser par soi-même est un muscle. Et l’IA, si elle est utilisée sans recul, risque de l’atrophier. Ce n’est pas un débat technophobe, mais un appel à un usage conscient et éducatif : l’IA peut enrichir… ou ruiner ce qui fait notre singularité mentale.
2️⃣ Créer un virus mortel avec l’IA ? Ce cauchemar devient plausible
Le résumé : OpenAI avertit que ses futurs modèles d’IA, de plus en plus puissants dans le domaine biologique, pourraient aider même des non‑experts à créer ou dupliquer des armes biologiques.
La sophistication croissante soulève des inquiétudes sérieuses et appelle à un renforcement urgent des sécurités avant tout déploiement public.

Les détails :
Risque élevé imminent : les modèles à venir devraient atteindre un niveau « High » selon le Preparedness Framework d’OpenAI, ce qui signifie un risque accru de facilitation de bioweapons, même pour des amateurs
Double usage de la biotech : les mêmes fonctions utiles pour la recherche médicale (raisonnement sur données biologiques, prédiction de réactions chimiques, conseils en lab) peuvent être détournées vers des usages malveillants
Amateurs + IA = danger : OpenAI craint le phénomène de « novice uplift », c’est‑à‑dire que l’IA permette à un néophyte de créer ou reproduire une arme biologique connue.
Exigence de fiabilité extrême : la détection et le blocage des usages dangereux doivent atteindre une « quasi‑perfection » : un taux de succès à 99,999 % ne suffit pas.
Actions préventives : OpenAI annonce l’organisation d’un événement engagé avec des ONG et des chercheurs gouvernementaux pour évaluer à la fois les opportunités et les menaces des IA émergentes.
Mesures en cours : collaboration avec experts en bio‑sécurité, red‑teaming, systèmes de filtrage sophistiqués, contrôles d’accès renforcés et revues par humains.
Pourquoi c’est important : On franchit un seuil dangereux : après l’automatisation du code, de l’image, du texte, l’IA s’aventure dans le biologique. Elle devient un outil puissant à double tranchant, capable d’accélérer la médecine… ou d’accélérer une menace mondiale.
Ce n’est pas un débat futuriste : OpenAI place la barre très haut, jugule les dangers avant de publier, et appelle à des mesures collectives, règlementaires et techniques. Le message est clair : la sécurité avant la puissance, mais est‑ce suffisant pour les gouvernements et l’industrie ?
3️⃣ Meta veut créer l’IA ultime (et aligne les millions)
Le résumé : Meta, sous la houlette de Mark Zuckerberg, lance un nouveau labo « superintelligence » et investit massivement pour rivaliser avec OpenAI et Google.
Avec une acquisition de 49 % de Scale AI pour 14,3 Md $ et des packages de recrutement à 9 chiffres, l’objectif est clair : atteindre une intelligence artificielle générale (AGI).
Mais cette stratégie ambitieuse s'accompagne de doutes internes sur la faisabilité et la vision à long terme…

Les détails :
Mega-investissement dans Scale AI : Meta injecte 14,3 milliards de dollars pour prendre 49 % de Scale AI et attire son fondateur Alexandr Wang pour poster au sein du nouveau « superintelligence lab ».
Recrutement ultra-ponctuel de talents : Zuckerberg propose des rémunérations entre sept et neuf chiffres, vise un groupe d’environ 50 chercheurs placés physiquement près de lui.
Frustration et réponse : Les retards de Llama 4 (« Behemoth »), jugés insuffisants, poussent Zuckerberg à prendre personnellement les rênes du dossier.
Course à la superintelligence : L’enjeu revendiqué est clair : surpasser l’intelligence humaine via une superintelligence, cap plus lointain que l’AGI.
Scepticisme persistant : Des voix internes et expertes se demandent si la vision manque de feuille de route précise et si les ennuis passés de Meta fragilisent son attractivité…
Pourquoi c’est important : Meta passe à la vitesse supérieure dans la course à l'AGI, avec des enjeux énormes : milliards investis, talents détournés à coups de neuf chiffres, ambitions planétaires.
Mais cette frénésie suscite des incertitudes : la superintelligence est-elle vraiment atteignable ? Et si l’exécution cloche, risque-t-on de retomber dans les errances de Llama 4 ? Bref, on assiste à une opération de redéfinition stratégique chez Meta, qui pourrait accélérer (ou freiner) l’avenir de l'IA… et de nous tous.
4️⃣ Moins d’humains, plus d’algos : le nouveau plan d’Amazon
Le résumé : Amazon ne tourne plus autour du pot. L’IA va remplacer des humains, et c’est le patron lui-même qui le dit.
Dans un mémo interne, Andy Jassy annonce que les effectifs vont baisser « naturellement » dans les années à venir, à mesure que l’IA prendra le relais sur de nombreuses tâches. Loin des discours sur la « collaboration homme-machine », Amazon opte pour la version cash : moins de monde, plus de tech, et tant pis pour les postes « non stratégiques ».

Les détails :
Annonce officielle d’Andy Jassy : Le 17 juin, le PDG d’Amazon envoie un mémo clair aux employés : « L’IA va réduire la taille de notre workforce corporate. »
1 000 projets IA en interne : Amazon bosse sur tout. Assistants vocaux, prévision de stock, recrutement, logistique, SAV automatisé… et veut tout optimiser.
Vers une équipe plus « scrappy » : L’objectif de Jassy ? Des équipes plus petites, plus agiles, plus tech. Comprendre : si t’as pas un copilot intégré dans la tête, tu dégages.
Appel à la formation individuelle : Les salariés sont encouragés à se former eux-mêmes à l’IA (« be curious »), ce qui ressemble à un « débrouillez-vous » élégant.
Climat social tendu : Des employés dénoncent un double discours. Amazon parle d’innovation, mais agit comme une machine à licencier proprement…
Un mouvement global : D’autres grands groupes (IBM, JPMorgan, Meta…) annoncent aussi des coupes, remplaçant progressivement les fonctions supports par de l’IA.
Pourquoi c’est important : Ce n’est plus une tendance, c’est une politique assumée. L’IA devient un outil de réduction de masse salariale, et non juste un assistant. Et quand le géant Amazon donne le ton, tout le secteur écoute. Le « choc de productivité » promis par l’IA commence ici, dans les couloirs silencieux des open-spaces vidés.
5️⃣ L’IA entre dans votre lit (et votre portefeuille)
Le résumé : Une ex-star de la presse people britannique, une startup d’IA… et une plateforme qui promet de monétiser vos fantasmes. Katie Price (aka Jordan) rejoint OhChat, le « OnlyFans de l’IA », qui permet de discuter, flirter ou fantasmer avec des avatars dopés à l’intelligence artificielle.
Grâce à une technologie de clonage vocal et visuel, les utilisateurs peuvent interagir avec une version virtuelle et sexy de leur star préférée. Le tout sans limites de temps… ni de décence.
Les détails :
Jordan, version IA : Katie Price a prêté son image et sa voix pour créer un jumeau numérique de son alter ego Jordan, icône glamour des années 1990.
Plateforme OhChat : lancée fin 2024, elle se présente comme le « OnlyFans de l’ère IA » et attire déjà plus de 200 000 utilisateurs, principalement aux États-Unis.
Créateurs rémunérés : 80 % des revenus vont aux célébrités, 20 % à la plateforme. Une vingtaine de personnalités ont déjà signé, dont Carmen Electra.
Fonctionnement tech : la création d’un avatar IA prend quelques heures et nécessite une trentaine de photos et un enregistrement vocal. OhChat utilise un LLM de Meta pour assurer les dialogues.
Modération par niveaux : Katie Price est au « niveau 2 », images topless et discussions osées, mais pas de nudité frontale ou de scènes explicites.
Pourquoi c’est important : C’est le symbole de l’arrivée d’un nouveau marché à la frontière entre divertissement pour adultes, IA générative et économie de l’attention. À la clé : des clones numériques qui ne dorment jamais, une monétisation sans effort du désir, et une explosion à venir du « sextainment » algorithmique.
❤️ L’outil de la semaine : Midjourney passe à la video !
Midjourney lance officiellement son premier modèle vidéo. Il permet de transformer une simple image en clip animé de 4 à 10 secondes, dans le style unique et onirique qui a fait sa renommée. Ce n’est pas Sora, ce n’est pas du ciné réaliste, c’est du Midjourney en mouvement.
À quoi ça sert ?
Donner vie à vos images : créez des vidéos stylisées à partir d’une image fixe, qu’elle vienne de Midjourney ou d’ailleurs
Exploration artistique : animation fluide, ambiance surréaliste, effets visuels cohérents sans chercher le réalisme…
Créer des boucles vidéos : idéal pour des gifs, des visuels sociaux, ou des clips immersifs
Interpolation entre images : bientôt possible de générer des transitions stylisées entre deux visuels.
Comment l’utiliser ? Rendez-vous sur le site de MidJourney, connectez-vous, importez une image, rendez-vous dans la bibliothèque et choisissez l’option « Animate ». Vous obtenez une vidéo de 4 à 10 secondes avec un rendu fluide et expressif.
💙 La vidéo de la semaine : l’IA créer les premiers Jeux olympiques de chats
Des chats plongeurs de compétition filmés en 5 à 10 secondes de pure folie aquatique ? Rassurez-vous, il ne s’agit pas de vrais félins. Simplement d’un clip créé avec le modèle vidéo Hailuo 02 de MiniMax.
Pourquoi ça cartonne ? Force est d’admettre que les graphismes sont bluffants. Mouvements de poils, éclaboussures, courbes de plongeon réalistes, le tout grâce à une simulation physique avancée et des prompts multimodaux.
Depuis que j’utilise ChatGPT… |
