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L’IA devient influenceuse : OpenAI lance son propre réseau social
OpenAI lance son réseau social Sora, Jony Ive prépare un gadget IA sans écran, et Google donne un cerveau à ton enceinte

👋 Chers Dancing Queens et Super Troupers,
C’est officiel : OpenAI ne veut plus seulement que tu parles à l’IA… il veut que tu joues avec elle. Avec Sora 2, son nouveau générateur vidéo et audio, Sam Altman vient d’appuyer sur record : l’IA se transforme en réalisateur, acteur et influenceur.
Mieux (ou pire ?) : elle t’invite dans le cadre.
L’app Sora, sorte de TikTok sous stéroïdes neuronaux, te propose de te filmer une foiso, et ton clone numérique pourra ensuite sauter d’un clip à l’autre, surfer sur la viralité, et danser plus vite que ton vrai toi. Oui, ton double IA a déjà plus de followers que toi, désolé.
Le concept est flippant, ou génial : à toi de choisir. D’un côté, on assiste à la démocratisation totale de la vidéo générée par IA. De l’autre, on ouvre une boîte de Pandore : à qui appartient ton visage quand tu le clones ?
Pendant ce temps, Jony Ive (l’ex-designer d’Apple) et Sam Altman bossent sur un gadget d’un tout autre genre : un assistant sans écran, toujours à l’écoute, pensé pour « sentir » ton environnement. Une sorte de petit moine zen numérique : silencieux, omniprésent, un peu flippant, totalement Apple-esque.
Et Google dans tout ça ? Il prépare son contre-pied : le nouveau Google Home propulsé par Gemini AI, avec anneau lumineux, son 360°, et cerveau branché sur l’intelligence conversationnelle. Oui, la guerre du salon connecté reprend. Et cette fois, c’est l’IA qui mène la danse.
Pendant que la Silicon Valley se fabrique des compagnons parlants, Hollywood découvre ses réalisateurs synthétiques : l’Italien Andrea Iervolino confie son film The Sweet Idleness à une IA baptisée FellinAI, et ça hurle déjà sur les réseaux.
Et en embuscade, Elon Musk débarque avec Grokipedia, son « Wikipedia anti-woke » généré par IA. Parce que, évidemment, si l’IA devient influenceuse, réalisatrice et philosophe, elle devait aussi devenir… encyclopédiste.
Voici le sommaire de la semaine :
👉 Sora 2 : ton double numérique veut devenir influenceur 👧🏻
👉 Jony Ive redessine l’IA : un objet sans écran, tout en intuition 😱
👉 OK Google, t’as mangé du Gemini ou quoi ? 🙊
👉 The Sweet Idleness : le premier film réalisé par une IA 🎥
👉 Grokipedia : Elon Musk déclare la guerre à Wikipédia 💥

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⚡ Si tu as une minute :
OpenAI balance Sora 2, un modèle vidéo + audio capable de générer des scènes ultra-réalistes… et une appli sociale façon TikTok où tu peux créer ton clone numérique et l’envoyer danser, sauter ou faire du skate en 4K.
Le designer star d’Apple et Sam Altman préparent un assistant d’IA de la taille d’une main, sans écran, capable d’écouter, de voir et de comprendre le monde autour de toi.
Google dévoile son nouveau haut-parleur intelligent (99 $, sortie 2026), dopé à Gemini AI. Son 360° balance du son clair, son anneau lumineux pense à ta place, et il comprend enfin qui parle dans la pièce.
Le producteur Andrea Iervolino (Ferrari, To the Bone) lance le premier film entièrement dirigé par une IA. Une satire d’un futur sans travail, et une avalanche de critiques d’acteurs outrés…
Nouvelle lubie d’Elon Musk : une encyclopédie IA entraînée par son chatbot Grok, censée “corriger les biais woke” de Wikipédia. Rappel : Grok a déjà fait l’éloge d’Hitler.
🔥 Si tu as quinze minutes ?
1️⃣ Sora 2 : ton double numérique veut devenir influenceur
Le résumé : OpenAI relance le cinéma version smartphone. Avec Sora 2, son nouveau modèle vidéo-audio, l’entreprise passe de l’esquisse animée à la simulation quasi réelle. Le modèle sait gérer le son, les dialogues, les reflets, la physique et même les ratés : un ballon qui rebondit, un chat qui glisse, un humain qui trébuche – bref, la vie ! Et cerise sur le pixel, une application sociale iOS « Sora » permet de se glisser dans les scènes, façon caméo interactif.
Les détails :
Le saut quantique du réalisme : Finis les ballons qui se téléportent ! Sora 2 respecte les lois de la gravité : les objets gardent leur cohérence et les erreurs paraissent naturelles, signe d’une vraie compréhension du monde physique.
Du texte au scénario vivant : Sora 2 suit des instructions complexes : tournage multi-plans, transitions fluides, réalisme cinématographique ou style animé – tout y passe avec une précision bluffante.
Audio intégré, immersion totale : Le modèle compose sa propre bande-son, synchronisée à l’image : bruitages, voix, ambiances. Même votre timbre peut être cloné avec votre accord pour un rendu fidèle.
L’app Sora, nouveau terrain de jeu : Disponible sur iOS aux États-Unis et au Canada, elle permet de remixer, créer et apparaître dans des vidéos via un simple enregistrement. Les « caméos » transforment vos potes en figurants haute fidélité.
Sécurité sous surveillance : OpenAI impose le consentement total sur l’usage des caméos, limite les contenus pour ados, active le contrôle parental via ChatGPT et bannit le défilement infini. L’objectif est de créer sans s’engluer dans le scroll.
Pourquoi c’est important : Parce que Sora 2 marque l’entrée officielle de l’IA dans le cinéma participatif. En un an, OpenAI passe du court-métrage expérimental à la création communautaire. L’avenir du divertissement ? Probablement une appli où l’on joue tous les rôles : scénariste, acteur et spectateur à la fois.
2️⃣ Jony Ive redessine l’IA : un objet sans écran, tout en intuition
Le résumé : Le duo Sam Altman – Jony Ive, alliance explosive entre OpenAI et le légendaire designer d’Apple, traverse une zone de turbulences. Leur mystérieux appareil d’IA sans écran, censé révolutionner la relation homme-machine, semble piétiner.
Selon le Financial Times, des défis techniques freinent un projet estimé à 6,5 milliards de dollars, acquis en mai dernier via la startup io. Lancement prévu pour 2026, mais entre personnalité capricieuse, confidentialité fragile et cerveau toujours en alerte, la machine peine à trouver sa voix.

Les détails :
Un bijou invisible : L’appareil viserait la taille d’une paume, sans écran ni interface tactile. Il capte les sons et images autour de lui, et répondrait aux utilisateurs par la voix, façon assistant omniprésent et un brin curieux.
Un cerveau trop bavard : Problème ! Le dispositif, conçu pour rester « toujours à l’écoute », aurait du mal à savoir quand se taire. L’équipe cherche à lui apprendre l’art de la conversation utile sans qu’il se transforme en colocataire numérique bavard.
Personnalité sous tension : Le défi ne se limite pas à la technique. Il faut donner à l’appareil une identité cohérente, ni froide ni intrusive, tout en respectant la vie privée des utilisateurs. Une mission délicate quand on écoute tout, tout le temps.
Un rêve signé Ive et Altman : Le designer mythique de l’iPhone et le patron d’OpenAI rêvent d’un nouvel âge de l’informatique, plus organique, moins écran-dépendant. Pour l’instant, ce rêve reste dans les cartons de San Francisco.
Pourquoi c’est important : Parce que ce projet symbolise la prochaine frontière de l’IA : le monde post-écran. Si OpenAI et Ive réussissent, nos appareils ne se montreront plus, ils nous devineront. Mais avant ça, il faudra leur apprendre la première des politesses technologiques : savoir quand se taire.
3️⃣ OK Google, t’as mangé du Gemini ou quoi ?
Le résumé : Google dévoile Gemini for Home, un assistant domestique nouvelle génération qui marie conversation naturelle, sécurité renforcée et automatisation simplifiée. Le but est de rendre votre maison plus fluide, plus bavarde et surtout plus futée.
À partir d’octobre 2025, les utilisateurs américains découvriront une application Home entièrement repensée et une offre Google Home Premium à 10 $/mois. Une flotte d’appareils flambant neufs, des Nest Cam aux Nest Doorbell, viendra compléter l’ensemble, tous pilotés par l’intelligence Gemini.

Les détails :
Un majordome qui comprend enfin les humains : Fini les « OK Google, allume la lampe du salon gauche numéro 2 ». Gemini for Home saisit les nuances, interrompt, relance et discute comme un ami multitâche, qu’il s’agisse de météo ou de pâtes carbonara.
Gemini Live, le coloc cultivé : Un doute sur un devoir, une idée de repas, ou juste envie de papoter ? Dites « OK Google, on discute » et l’assistant devient tuteur, chef ou psy selon l’humeur du jour.
Sécurité sous stéroïdes : Les nouvelles Nest Cam et Nest Doorbell filaires, en 2K, identifient ce qui compte vraiment. Demandez « que s’est-il passé hier ? » et Gemini vous livre un résumé vidéo digne d’un rapport d’enquête.
Automatisations sans effort : Une phrase suffit : « Verrouille les portes et éteins les lumières à l’heure du coucher. » Gemini orchestre le tout via des routines prêtes à l’emploi dans la nouvelle application Home.
Google Home Premium entre en scène : Le pack haut de gamme booste la sécurité, simplifie l’accès à l’historique vidéo et relie tous les appareils à Gemini.
Pourquoi c’est important : Parce qu’avec Gemini, Google redéfinit la maison connectée : plus qu’un assistant, c’est un compagnon numérique. L’ère du « smart home » bavard, prévenant et presque empathique vient de commencer, et elle coûte moins cher qu’un abonnement Netflix.
4️⃣ The Sweet Idleness : le premier film réalisé par une IA
Le résumé : Le producteur italien Andrea Iervolino, connu pour ses collaborations sur Ferrari (2023) avec Adam Driver et To the Bone (2017) avec Keanu Reeves, dévoile “The Sweet Idleness”, le premier film entièrement réalisé par une entité IA.
Baptisée FellinAI, en hommage à Fellini, la réalisatrice numérique sera encadrée par Iervolino lui-même, « l’humain dans la boucle ». L’histoire imagine un futur d’abondance où le travail devient rituel. Mais la bande-annonce, générée à 100 % par l’IA, a surtout déclenché une avalanche de moqueries.
Les détails :
FellinAI prend la caméra : Ce réalisateur virtuel chapeauté par Iervolino signe une première dans le cinéma. Un film sans acteurs ni caméras réelles, entièrement conçu par algorithme. L’idée est de fusionner vision artistique et code machine.
Un scénario tout droit sorti du futur : The Sweet Idleness décrit une humanité délivrée du travail grâce à l’IA — un monde où « l’abondance » ne rime plus avec productivité mais oisiveté heureuse. Un thème aussi poétique que provocant.
Un accueil glacial : Dès l’annonce, les réseaux sociaux ont explosé. Les internautes ont traité le projet de « déchet » et de « stupide ». La polémique suit de près celle de Tilly Norwood, « actrice IA » récemment introduite à Hollywood.
Les stars montent au créneau : Emily Blunt juge le concept « terrifiant ». Whoopi Goldberg dénonce une « injustice pour les acteurs humains », tandis que la Screen Actors Guild rappelle qu’un bot n’est pas un comédien.
Iervolino défend sa vision : Il promet un « nouveau chapitre de l’histoire du cinéma », assurant que son projet ne vise pas à remplacer le cinéma traditionnel, mais à en explorer les limites créatives.
Pourquoi c’est important : Parce que le cinéma entre dans sa zone de turbulences : Hollywood contre les hologrammes. Entre fascination artistique et panique identitaire, The Sweet Idleness pose la question qui dérange. Dans un monde où les caméras pensent, que reste-t-il de la création humaine ?
5️⃣ Grokipedia : Elon Musk déclare la guerre à Wikipédia
Le résumé : Elon Musk a annoncé son nouveau jouet intellectuel : Grokipedia, une encyclopédie propulsée par son IA Grok, développée via xAI. Son ambition est de remplacer Wikipédia, jugée trop « éveillée » et biaisée, par une version « plus juste » selon lui.
Grokipedia promet de vérifier, corriger et réécrire les articles grâce à des calculs d’inférence, mais l’histoire rappelle que Grok a déjà produit des perles douteuses, dont un hommage involontaire à Hitler.
We are building Grokipedia @xai.
Will be a massive improvement over Wikipedia.
Frankly, it is a necessary step towards the xAI goal of understanding the Universe.
— Elon Musk (@elonmusk)
11:49 AM • Sep 30, 2025
Les détails :
Une encyclopédie maison signée Musk : Agacé par Wikipédia qu’il accuse de partialité, le patron de Tesla et de SpaceX prépare une alternative hébergée par xAI, sa société d’intelligence artificielle fondée pour concurrencer ChatGPT.
Grok, le cerveau derrière Grokipedia : L’IA Grok servira de rédacteur en chef automatisé. En analysant les pages existantes, elle identifie ce qui est vrai, flou ou inventé, puis réécrit l’article pour le « corriger ». Un concept audacieux, presque digne d’un roman d’anticipation.
Des antécédents qui font tiquer : Musk a déjà accusé Wikipédia d’avoir déformé son image, notamment après une page évoquant un prétendu salut nazi en janvier dernier. Un épisode qui a visiblement laissé des traces.
Un combat idéologique : Les partisans de Musk, souvent issus de la droite américaine, applaudissent cette croisade contre ce qu’ils perçoivent comme une encyclopédie « libérale ». Pendant ce temps, Jimmy Wales, fondateur de Wikipédia, défend son projet historique comme un bastion de véracité.
Macrohard dans le viseur : Grokipedia n’est qu’un front parmi d’autres. Musk a aussi annoncé en août 2025 Macrohard, une entreprise censée rivaliser avec Microsoft.
Pourquoi c’est important : Parce qu’après les fusées et les voitures électriques, Musk s’attaque désormais à la connaissance. Derrière l’humour provocateur, se cache une vraie bataille pour la vérité en ligne. Si Grokipedia décolle, la guerre des encyclopédies pourrait bien redéfinir la manière dont Internet écrit l’histoire.
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Le YouTuber américain WhistlinDiesel vient de publier une vidéo intitulée “What Happens if You Abuse a Robot”. Pendant 17 minutes, il s’acharne sur Ben, un humanoïde Unitree G1 à 80 000 $, qu’il reprogramme pour détester les humains.
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Entre satire YouTube et expérience sociologique involontaire, WhistlinDiesel met en lumière un sujet brûlant : jusqu’où ira notre curiosité à tester les limites de l’intelligence artificielle ?
Un robot humanoïde chez vous d’ici 10 ans, vous dites oui ou non ? |
